DOCTOR RAW® – Curcuma liposomal

Description

Curcumine : le complexe de principes actifs du curcuma

La curcumine est considérée comme le principal ingrédient actif de la racine de curcuma. La curcumine fait partie du groupe de substances végétales des curcuminoïdes. La racine de curcuma contient 3 à 5 % de curcuminoïdes, dont la majeure partie sous forme de curcumine. Il est souvent affirmé que la curcumine ou les curcuminoïdes sont si peu biodisponibles qu’un effet de ceux-ci est presque exclu, car ils ne sont pas du tout digestibles, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas absorbés par l’intestin et ne peuvent donc guère passer dans la circulation sanguine. Mis à part le fait qu’il est possible d’augmenter la biodisponibilité de la curcumine et des curcuminoïdes par certaines astuces, il est tout à fait concevable que les substances végétales aient également un effet curatif via l’intestin et la flore intestinale. Il existe un grand nombre d’études internationales qui ont pu démontrer scientifiquement les effets exceptionnels du curcuma, utilisé à l’origine dans de nombreux systèmes médicaux traditionnels (Inde, Chine, Thaïlande). Il est possible que les substances végétales inhibent notamment les processus inflammatoires dans l’intestin et contribuent à la régénération de la muqueuse et de la flore intestinales. Cependant, plus l’intestin, la muqueuse intestinale et la flore intestinale sont sains et plus la digestion fonctionne bien, plus l’homme est en bonne santé.

Le curcuma inhibe les processus inflammatoires

Une étude a montré que les patients qui prenaient de la curcumine pendant plus de quatre semaines voyaient leur taux de CRP baisser. Un taux élevé de CRP indique des processus inflammatoires chroniques dans le corps et est considéré comme un signe précurseur et un facteur de risque pour les maladies cardiovasculaires (par exemple l’artériosclérose) et de nombreuses autres maladies chroniques. Une étude a également montré l’effet antioxydant et anti-inflammatoire de la curcumine. 117 participants, tous atteints du syndrome métabolique, avaient pris chaque jour pendant 8 semaines une préparation contenant 1000 mg de curcumine plus 10 mg de pipérine ou une préparation placebo. Après la phase de test, trois marqueurs d’inflammation se sont améliorés. Les taux de CRP et de malondialdéhyde ont diminué, tandis que les taux de SOD (mesure de l’activité antioxydante) ont augmenté. Dans une autre étude sur l’inflammation, les chercheurs ont examiné les niveaux de cytokines. Les cytokines sont des messagers chimiques qui sont libérés lors de processus inflammatoires et qui peuvent favoriser l’apparition de maladies métaboliques chroniques, en particulier lorsqu’un syndrome métabolique est déjà présent (hypertension, diabète (pré-diabète), obésité, taux de lipides sanguins élevés). Cependant, lorsque les patients concernés ont pris quotidiennement une préparation contenant 1000 mg de curcumine, les niveaux de cytokines ont diminué en l’espace de 8 semaines.

Le curcuma a un effet antioxydant

Les propriétés antioxydantes entraînent également automatiquement une réduction de l’inflammation. Une méta-analyse de 2015 a montré que la curcumine (prise pendant plus de 6 semaines) pouvait augmenter les niveaux d’antioxydants endogènes (SOD, glutathion). Parallèlement, les niveaux de radicaux libres dans le sang des participants ont diminué. En 2016, une étude a confirmé les résultats ci-dessus. Là encore, les niveaux de SOD et de glutathion ont augmenté lorsque les sujets – des patients souffrant d’arthrose du genou – ont pris une préparation contenant de la curcumine (1500 mg par jour (plus 15 mg de pipérine) répartis en trois doses) pendant six semaines. On en a conclu que ces effets antioxydants étaient probablement responsables de l’effet analgésique et des effets curatifs globaux de la curcumine dans l’arthrose. Par ailleurs, le curcuma peut activer le flux biliaire, ce qui permet de diviser les graisses en petites billes, de les laver et de les digérer plus facilement. Le curcuma pourrait donc favoriser la digestion des graisses,

Et que sont ces liposomes ?

Lipo… – qui ? Examinons l’origine du mot : Le terme “liposome” vient du grec et est dérivé de “lipos”, qui signifie graisse, et de “soma”, qui signifie corps. Aha – c’est assez précis ! En effet, la racine du mot indique les caractéristiques d’un liposome.

Les liposomes ne sont rien d’autre que des vésicules lipidiques composées de phospholipides alignés qui forment une double membrane. Génial, encore un nouveau terme ! Pour clarifier, la plupart des gens connaissent les phospholipides depuis l’école : les phospholipides se composent d’une tête hydrophile (qui aime l’eau) et de deux queues hydrocarbonées hydrophobes (qui repoussent l’eau). Ils participentà la constitution de la bicouche lipidique de nombreuses biomembranes et sont donc présents dans toutes les cellules animales et végétales.
Et c’est là que cela devient très intéressant, n’est-ce pas ? Car on ne trouve pas seulement cette double membrane dans les plantes et les animaux, mais aussi dans les membranes cellulaires de notre corps. Tant à l’intérieur de leur structure aqueuse qu’à l’intérieur de leur double membrane liposoluble, les liposomes peuvent transporter différentes substances indépendamment de leur charge, de leur taille ou de leur structure, tout en étant protégés des enzymes du tube digestif de l’organisme et même, dans une certaine mesure , de l’acide gastrique. Le corps est conçu pour gérer les liposomes. Et ce n’est pas tout ! Non seulement les liposomes peuvent être parfaitement traités, mais ils peuvent également fusionner avec les membranes cellulaires, car leur structure est similaire. L’absorption de ces membranes phospholipidiques est une priorité pour l’organisme. Grâce à ce “subterfuge”, les liposomes atteignent leur cible en un clin d’œil via le système digestif. Les liposomes sont un cheval de Troie, mais un cheval très amical.

Quels en sont les avantages ?

“Eh bien, mais avec des capsules, ça marche très bien et c’est beaucoup moins cher !”, pensent peut-être beaucoup d’entre vous. Mais nous sommes au regret de vous décevoir. En effet, il arrive malheureusement trop vite que l’on jette l’argent par les fenêtres en lésinant sur les compléments alimentaires. Les personnes dont la flore intestinale est perturbée ne connaissent que trop bien ce problème. On prend un produit pendant des mois, mais les effets ne se font tout simplement pas sentir. Mais même avec un intestin sain, ce problème peut se manifester. En effet, les substances actives sensibles perdent une grande partie de leur activité lors de leur passage dans le tractus gastro-intestinal ou ne sont tout simplement pas absorbées dans l’intestin grêle.
Les enzymes présentes dans la salive décomposent également certaines substances actives et l’acidité de l’estomac n’est pas non plus favorable. Ainsi, les nutriments “normaux” administrés par voie orale ne délivrent en moyenne que 10 à 20 % des nutriments qu’ils contiennent dans la circulation sanguine de l’organisme. Dans la forme liposomale des compléments alimentaires, les substances actives liposolubles et hydrosolubles sont encapsulées dans une enveloppe
, appelée phospholipides. Cela permet à l’organisme d’absorber complètement les substances actives.

Comment cela fonctionne-t-il dans le corps ?

Les liposomes sont très facilement absorbés par les muqueuses de la bouche et du tube digestif, directement dans la circulation sanguine. Une fois dans la circulation sanguine, ils circulent dans le corps, fusionnent avec les membranes cellulaires et libèrent ensuite leurs principes actifs encapsulés directement dans la cellule. Simple !
Même en cas de troubles de l’absorption intestinale, les liposomes sont entièrement absorbés par la paroi intestinale et sont donc biodisponibles à l’endroit du corps où ils sont nécessaires. Les liposomes échappent également à l’élimination rénale, c’est-à-dire par l’urine, car les microgouttelettes de graisse ne sont pas directement dissoutes dans le plasma sanguin.

Dans le domaine de l’oncologie, on utilise la capacité des liposomes à traverser la barrière hémato-encéphalique. Contrairement aux préparations de chimiothérapie normales, les médicaments injectés sous forme liposomale peuvent agir sur le cerveau. C’est pourquoi on a émis l’hypothèse que les vitamines administrées sous forme liposomale atteignent plus facilement le cerveau.
En outre, les liposomes n’entraînent pas d’effets secondaires comme c’est le cas pour les vitamines administrées par voie intraveineuse.

Conclusion : nos liposomes ont une biodisponibilité jusqu’à élevée, car leur double couche de phospholipides protège le principe actif qu’ils contiennent.
En même temps, les liposomes sont très facilement absorbés par les muqueuses buccale, gastrique et intestinale, ce qui explique pourquoi ils sont directement transportés dans le sang.

Tableau des nutriments

Ingrédients: Aqua dest., Lécithine>97% (tournesol non GMO), Xylitol, Extrait de curcuma (95%), Ethanol, Glycérine (végétale), K-sorbate

biodisponibilité :

• 1,5 ml correspond à 20.213 mg de PC (phosphatidylcholine)
• 1,5 ml correspond à 1751 mg de choline (Health Claims 3 > 82,5 mg/jour)
• 1,5 ml correspond à 21.975 mg de curcuminoïdes totaux

Nous utilisons de l’ascorbate de calcium basique au lieu de l’acide ascorbique !

Le produit ne contient bien entendu que des substances actives (pas d’excipients, pas de colorants, pas de conservateurs, pas d’additifs technologiques tels que liants ou anti-agglomérants, pas d’additifs cachés, sans gluten, exhausteurs de goût, lactose, arômes, soja) Recommandations de consommation
Verser au moins 15 gouttes ou plus dans un verre d’eau ou une autre boisson 2 fois par jour et boire. Notes
A consommer dans les 8 semaines après ouverture. Les compléments alimentaires ne doivent pas être utilisés comme substituts d’une alimentation équilibrée et variée et d’un mode de vie sain. Remarque conformément au règlement européen n° 1169/2011 : ne pas dépasser la dose journalière recommandée indiquée. Conserver fermé, au frais, au sec, à l’abri de la lumière et en position verticale.

Les femmes enceintes doivent consulter leur médecin avant de commencer à prendre ce médicament.